C’est l’histoire méconnue de trois rois mages qui apportèrent des offrandes à un nouveau-né, nommons-le Jésus par exemple, pour faciliter la compréhension de l’histoire. Perdus dans le désert, ils se repérèrent néanmoins grâce aux étoiles, et plus précisément grâce aux constellations, qui ne sont autres que des courbes de glycémies astrales. Lorsqu’ils arrivèrent à la maternité, la mère se réjouit de ces cadeaux. Elle décida alors de célébrer les trois invités autour d’une recette de son invention : une galette à la pâte feuilletée garnie d’une crème à la frangipane, dans laquelle elle cacha une fève. Celui ou celle qui tombait sur la fève serait couronné roi ! On invita le nouveau-né, qui savait déjà marcher et parler le soir venu, à aller sous la table et à distribuer au hasard les parts de galette. 

On arrosait ce goûter avec un breuvage à base de jus de pomme fermentée. Qui eût la fève? Le nouveau-né ! Jésus devint ce soir-là le roi de Nazareth. Il devint aussi diabétique, tout comme les rois mages. Jésus, qui n’était qu’un enfant, fut lui diabétique de type 1, tandis que les rois mages, plus âgés, devinrent diabétiques de type 2. Les longues heures de marche dans le désert ne suffirent pas à faire reculer le fléau !

Quelle histoire que celle de la galette des rois et de l’origine du diabète. Le premier diabétique n’est autre que Jésus ! Sa cène la plus connue nous rapporte néanmoins un diabète plutôt déséquilibré. On le voit manger et boire beaucoup, amaigri et inquiet, probablement par ses hyperglycémies. Souvenons-nous aussi qu’il aimait laver les pieds du peuple, une précaution prophétique car on sait à quel point il est important de prendre soin du pied diabétique aujourd’hui.

La frangipane est donc bien la frangine de ton diabète. Elle est aussi le père, le fils et la Sainte Glycémie.